Jean-Louis Moreau et Annick Aubert-Dignac (au premier plan) et leurs remplaçants Martine Perroy et Jean-Claude Monaury.
Le Front de gauche dévoile ses candidats. Sur le canton 3, celui de
Châtellerault 2, il sera défendu par Annick Aubert-Dignac et Jean-Louis
Moreau.
Habitante d'Orches, âgée de 56 ans, Annick Aubert-Dignac est directrice d'école à Loudun. Marié, mère d'une fille, elle est militante syndicale et au Parti communiste français depuis 1981. Elle était candidate lors des dernières élections législatives en tant que suppléante de Pierre Baraudon.
Agée de 59 ans, habitant Antran, Jean-Louis Moreau, marié, père de deux filles, est cadre cheminot. Il est responsable de la section du Parti communiste français et a été élu pendant dix-huit ans à Châtellerault dont douze ans comme adjoint au maire. Il s'était également présenté lors d'élections cantonales sur le canton de Dangé-Saint-Romain.
Pour eux, il s'agira d'être les représentants de la « vraie gauche » et veulent « construire l'espoir » en réorientant les priorités du département. Et ils refusent d'avoir à considérer le risque que la gauche ne soit pas présente au deuxième tour sur ce canton où le Front national peut faire un bon score. « Si on ne se présente pas, estime Annick Aubert-Dignac, les voix de gauche risquent d'aller à l'abstention. »
Habitante d'Orches, âgée de 56 ans, Annick Aubert-Dignac est directrice d'école à Loudun. Marié, mère d'une fille, elle est militante syndicale et au Parti communiste français depuis 1981. Elle était candidate lors des dernières élections législatives en tant que suppléante de Pierre Baraudon.
Agée de 59 ans, habitant Antran, Jean-Louis Moreau, marié, père de deux filles, est cadre cheminot. Il est responsable de la section du Parti communiste français et a été élu pendant dix-huit ans à Châtellerault dont douze ans comme adjoint au maire. Il s'était également présenté lors d'élections cantonales sur le canton de Dangé-Saint-Romain.
Pour eux, il s'agira d'être les représentants de la « vraie gauche » et veulent « construire l'espoir » en réorientant les priorités du département. Et ils refusent d'avoir à considérer le risque que la gauche ne soit pas présente au deuxième tour sur ce canton où le Front national peut faire un bon score. « Si on ne se présente pas, estime Annick Aubert-Dignac, les voix de gauche risquent d'aller à l'abstention. »
L.G.
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