Jean-Louis Borloo a terminé son périple dans la Vienne par une courte étape à Châtellerault. - (dr) 
Dans le marathon qui le rapproche de la présidentielle, Jean-Louis Borloo n'aura pas manqué de faire un petit tour par la case Châtellerault. Celle de son ami centriste Jean-Pierre Abelin, avec qui il est à tu et à toi.
Le député-maire de Châtellerault lui a dressé quelques couronnes jamais inutiles quand on veut devenir roi. Il a salué la vision globale de l'ex-ministre de l'Environnement et les nombreuses lois qui ont contribué à changer sa ville : rénovation urbaine, loi sur la cohésion sociale, Grenelle 1 et 2. « Je me retrouve dans beaucoup de ses valeurs, explique Jean-Pierre Abelin. On a besoin d'un centre plus fort qui pèse et se fasse entendre. Il est plus audible que François Bayrou par sa crédibilité qui vient des lois qu'il a fait voter. »
Un appui qui a fait du bien à Jean-Louis Borloo tout comme le rendez-vous concocté par Brahim Benzerga, adjoint en charge des quartiers. Des acteurs d'Ozon - et pas mal d'élus - ont pu présenter quelques-uns de leurs projets et dire tout le bien qu'ils pensaient de la rénovation urbaine. Un plein de « sourires » en à peine une demi-heure qui l'a comblé d'aise avant de remonter dans son « petit » TGV.
A retrouver également en vidéo sur lanouvellerepublique.fr et centre-presse.fr
Le député-maire de Châtellerault lui a dressé quelques couronnes jamais inutiles quand on veut devenir roi. Il a salué la vision globale de l'ex-ministre de l'Environnement et les nombreuses lois qui ont contribué à changer sa ville : rénovation urbaine, loi sur la cohésion sociale, Grenelle 1 et 2. « Je me retrouve dans beaucoup de ses valeurs, explique Jean-Pierre Abelin. On a besoin d'un centre plus fort qui pèse et se fasse entendre. Il est plus audible que François Bayrou par sa crédibilité qui vient des lois qu'il a fait voter. »
Un appui qui a fait du bien à Jean-Louis Borloo tout comme le rendez-vous concocté par Brahim Benzerga, adjoint en charge des quartiers. Des acteurs d'Ozon - et pas mal d'élus - ont pu présenter quelques-uns de leurs projets et dire tout le bien qu'ils pensaient de la rénovation urbaine. Un plein de « sourires » en à peine une demi-heure qui l'a comblé d'aise avant de remonter dans son « petit » TGV.
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Laurent Gaudens
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