Cinquième année qu'ils le chassent, et le dasi – sida en verlan –
court toujours. Une nouvelle fois, la Maison pour tous de Châteauneuf a
organisé sa chasse au dasi. Objectif : amener des jeunes à découvrir ce
qu'est le sida et comment lutter contre en les envoyant se renseigner
dans divers lieux de la ville.
Le centre de dépistage anonyme et gratuit (CDAG) de l'hôpital, le centre de planification familiale à la Maion de la solidarité, le Bureau d'information jeunesse au « 4 », le local de prévention à l'Afpa, une pharmacie et, naturellement, la Maison pour tous ont ainsi accueilli pas loin d'une centaine de jeunes en deux temps : les collégiens le 28 novembre et des lycéens et jeunes adultes jeudi dernier, la journée nationale contre le sida ayant lieu chaque 1er décembre.
Originalité, depuis l'an passé, les jeunes sont munis de petites caméras prêtées par le « 4 » pour rendre compte en vidéo de leurs visites. Ainsi, durant l'après-midi, à la Maison pour tous, chacun peut commenter la visite qu'il a réalisée le matin. « Le travail porte ses fruits, estime Sonia Robert, chargée de mission santé publique à la ville. On le voit dans les échanges qu'ils ont après. L'avantage, c'est qu'ils n'en restent pas là après. Dans leurs structures ou en individuel, ils peuvent retravailler le sujet et retourner voir certains lieux. » Si le dasi court toujours, il n'a pas le temps de reprendre son souffle.
Le centre de dépistage anonyme et gratuit (CDAG) de l'hôpital, le centre de planification familiale à la Maion de la solidarité, le Bureau d'information jeunesse au « 4 », le local de prévention à l'Afpa, une pharmacie et, naturellement, la Maison pour tous ont ainsi accueilli pas loin d'une centaine de jeunes en deux temps : les collégiens le 28 novembre et des lycéens et jeunes adultes jeudi dernier, la journée nationale contre le sida ayant lieu chaque 1er décembre.
Originalité, depuis l'an passé, les jeunes sont munis de petites caméras prêtées par le « 4 » pour rendre compte en vidéo de leurs visites. Ainsi, durant l'après-midi, à la Maison pour tous, chacun peut commenter la visite qu'il a réalisée le matin. « Le travail porte ses fruits, estime Sonia Robert, chargée de mission santé publique à la ville. On le voit dans les échanges qu'ils ont après. L'avantage, c'est qu'ils n'en restent pas là après. Dans leurs structures ou en individuel, ils peuvent retravailler le sujet et retourner voir certains lieux. » Si le dasi court toujours, il n'a pas le temps de reprendre son souffle.
Laurent Gaudens
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