Quand la retraite sonne à la faveur d'une restructuration en 2006, elle continue dans la voie syndicale au sein de la CFTC – même si elle se dit athée –, dont elle devient la présidente de l'union régionale. Elle est également depuis trois ans membre du conseil économique et social du Poitou-Charentes.
Divorcée, mère de trois enfants (qui lui ont donné quatre petits-enfants), cette habitante du Grenadier-Français, dont « l'élément fondateur est la famille », a pris sa carte au Parti socialiste voilà un an. Au moment même où Michel Guérin commençait à l'approcher. « D'abord comme simple conseillère, explique-t-elle. Il y a été progressivement et ça a été bien car j'aurai peut-être refusé sinon. » Après déjà « deux temps de vie, professionnel puis syndical », elle en espère un troisième. « Municipal » cette fois.
L.G.
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