La campagne est bien lancée à Naintré.
Surtout ne pas donner l'impression d'avoir gagné. C'est probablement
ce qu'on s'est dit dans le camp Michaud à quelques jours du premier
tour. « Rien n'est jamais acquis », « nous n'avons que des CDD », « nul n'est sûr de rien » : le maire sortant veut la jouer modeste, même si, derrière les mots, perce un sourire de satisfaction. « Il est vrai que nous avons un bilan reconnu », se rassure-t-il.
Et, comme pour les deux autres candidats, les propositions présentées dans le projet de campagne « sont très bien accueillies ». Il en résume les points forts : la 4G, la fibre optique, le cadastre photovoltaïque, la production électrique sur le Clain… Autant de bons signes qui lui font ignorer ses adversaires. « Je n'ai pas de commentaires sur leur campagne », indique Christian Michaud, qui n'a pour autant pas besoin d'être beaucoup poussé pour dire que l'un a « un bilan financier que l'on connaît » (Bernard Rimbeau) et que l'autre a dû « récupérer l'ancienne liste de Michel Droin ».
S'il n'a que peu d'attaques à faire sur son bilan – « un maire doit faire avec un budget » – Bernard Rimbau, ancien maire de Naintré, a beaucoup de reproches à faire au personnage. « Il emploie des mots ronflants sur l'humanisme, la solidarité, mais il est temps qu'il mette son discours en adéquation avec son comportement. »
Lui a misé sur la clarté. Avec des propositions concrètes : la cuisine centrale, le cœur de ville, la police municipale… Pas d'entourloupes, annonce-t-il, à la différence du maire actuel, qui « n'a pas dit toute la vérité sur les millions d'emprunt faits en 2013-2014 » et qui n'apparaîtrait pas dans ses bilans.
Candidate du Parti socialiste, Christine Piaulet juge que le maire joue « beaucoup sur son bilan » et a sorti un programme « copié-collé de celui de 2008 ». « C'est dommage de n'avoir rien d'autre à proposer après six ans », regrette-t-elle. Elle veut mettre le « citoyen au cœur du projet » et inscrire développement durable et solidarité dans chacun de ses projets. Avec un point central, l'aménagement d'un cœur de ville par la création de halles couvertes dans un lieu à définir.
Enfin, chacun des candidats a signé une charte éthique, et Christine Piaulet – tout comme Bernard Rimbeau – sera contre le non-cumul et ne siégera pas en tant que vice-présidente de la communauté d'agglomération. Là aussi, une autre façon de se distinguer du maire actuel…
Et, comme pour les deux autres candidats, les propositions présentées dans le projet de campagne « sont très bien accueillies ». Il en résume les points forts : la 4G, la fibre optique, le cadastre photovoltaïque, la production électrique sur le Clain… Autant de bons signes qui lui font ignorer ses adversaires. « Je n'ai pas de commentaires sur leur campagne », indique Christian Michaud, qui n'a pour autant pas besoin d'être beaucoup poussé pour dire que l'un a « un bilan financier que l'on connaît » (Bernard Rimbeau) et que l'autre a dû « récupérer l'ancienne liste de Michel Droin ».
S'il n'a que peu d'attaques à faire sur son bilan – « un maire doit faire avec un budget » – Bernard Rimbau, ancien maire de Naintré, a beaucoup de reproches à faire au personnage. « Il emploie des mots ronflants sur l'humanisme, la solidarité, mais il est temps qu'il mette son discours en adéquation avec son comportement. »
Lui a misé sur la clarté. Avec des propositions concrètes : la cuisine centrale, le cœur de ville, la police municipale… Pas d'entourloupes, annonce-t-il, à la différence du maire actuel, qui « n'a pas dit toute la vérité sur les millions d'emprunt faits en 2013-2014 » et qui n'apparaîtrait pas dans ses bilans.
Candidate du Parti socialiste, Christine Piaulet juge que le maire joue « beaucoup sur son bilan » et a sorti un programme « copié-collé de celui de 2008 ». « C'est dommage de n'avoir rien d'autre à proposer après six ans », regrette-t-elle. Elle veut mettre le « citoyen au cœur du projet » et inscrire développement durable et solidarité dans chacun de ses projets. Avec un point central, l'aménagement d'un cœur de ville par la création de halles couvertes dans un lieu à définir.
Enfin, chacun des candidats a signé une charte éthique, et Christine Piaulet – tout comme Bernard Rimbeau – sera contre le non-cumul et ne siégera pas en tant que vice-présidente de la communauté d'agglomération. Là aussi, une autre façon de se distinguer du maire actuel…
Laurent Gaudens
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