Si la virtuosité est bien du côté des Rosenberg, Sanseverino, sa gouaille, ses gros mots et ses pitreries en tout genre, ont quand même ravi les – au moins – 1.200 spectateurs de l'Angelarde hier soir. Un sens du spectacle indéniable qui aurait presque fait oublier Stochelo Rosenberg et ses deux cousins. Heureusement, quelques morceaux trios magistralement interprétés rappelaient que c'était bien eux les têtes d'affiche. Non, mais !
Laurent Gaudens
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire